Archive for mars, 2009

Parce que bam quoi !!

mars 27th, 2009 by Batiste

C’était à noël.
Juste au moment où Adèle fait arrêter manu militari l’orgie pour ouvrir les cadeaux (minuit pile en général, minuit moins cinq les années où on peut plus la tenir). Papa m’avait offert “Bleu Pétrole”, et ça avait fait à peu près comme ça :

Le papa : “Tiens !!”
Le garçon : “Trop bien !! Je voulais l’acheter !!! … Tu savais qu’il avait annulé ses dernières dates ?”
Le papa : “Il est pas au top apparemment…”
Le garçon : “Ha ben les cancers !! Ca pardonne pas !! T’en sais quelque chose !!” (qu’est ce qu’on rigole en famille !!)

Et il était pas vraiment au top.
Il aura pas pu reprendre ses concerts après une dernière apparition aux victoires de la musique, a déménagé vendredi dernier au Père Lachaise, et ceux qui l’ont accompagné n’avaient que ces mots aux lèvres :

“Aujourd’hui c’est vendredi et je voudrais bien qu’on m’aime…”

J’avais ressorti depuis une ou deux semaines “Bleu Pétrole” et “Fantaisie Militaire” qui trainait aussi dans un coin de mon appart, et m’étais (re)plongé dans son univers. Je vais pas te faire une nécro ou un article sur Bashung, j’en serais bien incapable et ça a déjà été fait 1 000 fois, mais te parler d’une chanson en particulier…

Et c’est pas souvent qu’une chanson me fait cet effet.
La première fois c’était en prépa. Je venais d’acheter “Trio in Tokyo”, l’avais mis en fond pour bosser sur un truc de math dont j’ai jamais trouvé la solution, les chansons défilaient alors que grattais des tas de trucs absorbé par mon bout de brouillon, et je me souviens m’être arrêté d’un coup.
J’avais relevé la tête au beau milieu d’un morceau, les yeux ronds, englobé dans une sensation toute particulière, des décharges d’adrénalines en continue, des fourmis dans les mains, et une chair de poule généralisée.
J’étais face à une évidence, face à quelque chose qui me parlait physiquement, et m’étais mis à jubiler, sans pouvoir contrôler ni l’adrénaline ni la sensation de plénitude que ce petit trio faisait naître en moi…

Et depuis plus rien.
Plus rien de ce niveau là en tous cas.
Jusqu’au moment où j’ai écouté ce morceau de Bashung.
Je pourrais pas te dire ce qui dans ce morceau me fait ça, mais je sais que ça me prend dès les premières notes.
Les décharges déchargent, les fourmis foncent jusque dans mes mains, je me retrouve dans un tourbillon de mots, frappé par les images, hypnotisé par sa voix. La musique sautille et prend du volume alors que mes yeux s’écarquillent…
Vénus… Vénus…
Et il reprend tout, recommence depuis le début, utilise les mêmes mots, les mêmes images, et change tout. Les raccourcis entre les images font sens, éclairent le texte d’un jour nouveau…

Allez je te la file.

Il a fait l’amour, il a fait le mort… Et il est plus là pour nous expliquer ce qu’il a voulu dire… :p

Category: J'aime la vie je fais du vélo et je vais au cinéma, La vie est belle... | No Comments »

Parce que je n’écrirai rien sur ce film c’est une merde…

mars 17th, 2009 by Batiste

On a un deal.
Un deal implicite qui est né le jour où on a été assez grand pour avoir des boutons et prendre le bus.

Avant le jour des boutons et du bus, ma soeur et moi allions au ciné avec nos parents, dans une petite salle de petite ville où ils passent toujours tout, mais bizarrement avec 1 mois de retard. Pas grands fans de cinés à Bordeaux centre où les cinés étaient à la pointe de la modernité mais où il fallait 2 heures pour se garer, papa et maman avaient préféré la petite ville et on y passait pas mal de nos dimanches aprèm.

A partir du jour des boutons (qui a correspondu avec la sortie de “Stargate”, je te laisse refaire l’historique de mon acnée), on a eu le choix entre prendre le bus et aller rejoindre nos potes à Bordeaux pour un ciné (le prix de la place étant entièrement pris en charge par notre argent de poche), ou se poser dans la voiture, se laisser conduire jusqu’au petit ciné avec papa et maman, et se faire payer la place…

C’était ça le deal… T’y vas sans nous, ok mais tu paies…

Fin stratagème pour continuer à aller au ciné avec ses gosses me dirais-tu !! Tu n’aurais pas tout à fait tort…
Mais si à 13 ans (oui Stargate est sorti en 1995…) on est allé avec nos boutons et nos potes voir “Une journée en enfer” (oui oui 1995), j’imagine assez mal comment on aurait pu motiver les copains du collège à aller voir “Underground” ou “La cité des enfants perdus” (oui oui toujours 1995, allociné est mon ami) si papa et maman nous y avaient pas amenés… (tu peux vérifier, cette phrase est grammaticalement correcte même si elle marche sur la tête…)
Et inversement, ça m’étonnerait que maman soit venue voir GoldenEye…

Ce deal nous a donc permis de mixer une culture Télérama assez poussée avec des films de filles (pour Adèle qui aime autant Love Actually que Mulholland Drive, va comprendre…) et les films de super Héros (pour moi !! Adèle s’est endormie pendant le dernier Batman… Va comprendre…)

Samedi dernier (enfin pas samedi dernier mais celui d’avant, j’ai pas eu trop eu le temps d’écrire la semaine dernière…), de retour à Bordeaux pour un petit week-end, je me suis retrouvé sur la banquette arrière de la voiture, en route pour le petit ciné où j’avais pas mis les pieds depuis 7 ans, et où on allait voir Benjamin Button : “Boah, nominé aux oscars ça doit se laisser regarder” avait lâché maman avant de partir.

Au final ça se laisse pas regarder, mais les vieux réflexes sont revenus tout de suite : S’engueuler pour garer la voiture sur un parking vide (très important de s’engueuler pour ce genre de choses dans une famille), laisser maman payer le ciné (c’est le deal !!), se faire des petits commentaires pendant le film (si le films pourri…), et surtout (surtout) faire un débrif du film dans la voiture en rentrant à la maison (Bon là on s’est surtout moqué).

Papa : “Rololoooo, et le faux passage à la Amélie Poulain ?? Mais qu’est ce que c’était pourri !! On peut dire qu’ils ont tout raté…”
Batiste : “En même temps c’était ça ou le gros Depardieu…”
Maman : “Ouaip, il parait que c’est pas le meilleur Chabrol…”
Batiste : “Et y a le gros Depardieu… Je peux plus l’encaisser…”
Papa : “Tu veux que je te rappelle ce que c’était un de tes films préférés quand t’étais petit ?”
Batiste : “Cyrano ? … Mais ça a rien à voir… C’est Cyrano…”

Tiens d’ailleurs, je t’ai dit lecteur que l’autre jour on m’a fait gouter une tarte(lette) Amandine ?

Category: J'aime la vie je fais du vélo et je vais au cinéma, La vie est belle... | No Comments »

Parce qu’on aimerait bien les secouer !!

mars 13th, 2009 by Batiste

Je sais que tu le réclames depuis des semaines un petit post sur elle, pour savoir comment elle va et tout, alors je me lance !! Sur ses fringues, je pense qu’on a à peu près fait le tour (ça a pas trop changé ces derniers temps), mais y a un truc qui m’énerve chez elle et dont on a pas encore parlé…

Pour illustrer mon propos, je vais prendre un exemple tiré de la vie d’un certain “auteur” dont je tairai le nom, que l’on nommera “je”, et qui remonte à ce matin.

Le vendredi matin est ce moment un peu magique où il reste certes une journée de boulot avant de pouvoir se la couler douce pendant 2 gros jours, mais où l’atmosphère que dégage ma chambre au moment où j’ouvre les yeux est plus proche de celle de la kermesse municipale que de celle du monastère.
La raison est simple : de là, on peut déjà apercevoir le vendredi soir.

Dans la compétition pour le meilleur moment de la semaine, oublions le dimanche qui n’est que la lente agonie du week-end et où le soir tant redouté depuis l’école primaire est le siège du faisage de cartable, et concentrons-nous sur les deux plus gros compétiteurs : j’ai nommé le samedi aprèm et le vendredi soir.

J’admets que le samedi aprèm est LE moment où tu peux faire ce que tu veux de ton week-end, profiter des instants qui passent et prévoir des choses pour le soir, mais le vendredi soir respire la liberté : l’instant même où tu sors du boulot ouvre la perspective de l’infinité de choses que tu vas pouvoir faire des 48 heures à venir.

“Oui mais le vendredi soir ça pue, on est fatigué et on fout rien” me rétorqueras-tu…
“Tocard” te répondrais-je. Le vendredi a ceci de supérieur au samedi aprèm qu’une fois passé, il reste ENCORE le samedi aprèm pour profiter du week-end !!

Ceci éclairci, le vendredi matin, depuis la proue de mon lit, les embruns du vendredi soir envahissent mes sens, et c’est avec un sourire inaltérable que je saute de mon lit !! Inaltérable… Sauf si je la croise.

Parce que figure toi que la parisienne (oui on parle de la parisienne là…) a un sac à main. Un sac à main qu’elle aime bien, et dans lequel elle met toute sa vie sauf ses livres. Ses livres, eux, sont dans une petite poche (oui une poche) en papier qu’elle a eue aux Galleries Lafayette ou chez Fauchon, et dans laquelle elle ne met QUE les livres.

Dans le “toute la vie” du sac à main de la parisienne, figure toi qu’il y a son Pass Navigo… (Pour les non initiés, le Pass Navigo c’est la carte magnétique qui permet de passer les tourniquets du métro sans ticket. Tu la passes au dessus de la borne, ça fait “Ding”, et tu peux passer !! La magie descendue sur terre… )
Le jour où on le lui a proposé, la parisienne a trouvé ça très bien le Pass Navigo :

Le mec de la RATP : “Alors vous voyez mademoiselle, c’est une carte magnétique qui permet de passer les tourniquets du métro sans ticket. Vous la passez au dessus de la borne, ça fait “Ding”, et vous pouvez passer !!”
La parisienne : “Fini les tickets à sortir de la poche et à mettre dans la petite fente que ça prenait du temps ?”
Le mec de la RATP : “Oui, vous pouvez même mettre votre pass Navigo dans votre portefeuille, comme ça vous le perdez pas !!”
La parisienne : “Hooooooooo”
Le mec de la RATP : “Et donc ça va plus vite”
La parisienne : “Haaaaaaaaa”

Depuis, son pass navigo est dans son portefeuille, qui lui est dans sa pochette, qui elle même est dans son sac (qu’il ne faut toujours pas confondre avec le petit sac Fauchon à livres), et que la parisienne fait bipper les bornes avec son sac… Très pratique.

Très pratique sauf que si jamais la pochette qui contient le portefeuille qui renferme le pass navigo se trouve malencontreusement ne pas être pas au fond du sac au moment où la parisienne le passe sur le capteur, mais (par exemple) au dessus du journal de la semaine précédente, d’un petit carnet Moleskine, et d’un étui à lunettes, la parisienne se retrouve à secouer sa bourse au dessus du capteur qui fait pas “Ding”.

Et donc ce matin, l’oeil fringuant et le regard fixé sur la soirée en perspective, humant les vapeurs des préparatifs du week-end, je descends les escaliers de ma station de métro (Petite station de métro avec un seul tourniquet) le sourire aux lèvres sur les pas d’une parisienne qui m’a doublé juste avant l’escalier…
Elle sourit aussi la bougre, le regard fixé sur le vendeur de tickets pour lequel elle a un faible depuis plusieurs mois, soulève son sac à l’approche de la borne, et comme tous les matins ça bippe pas !!

La parisienne : “Ralalaaaaa, ça marche pas… Ralalaaaaa, pourtant il est dans mon portefeuille dans sa pochette dans mon sac… ralalaaaaaaa… Je comprends pas…”

Elle secoue sa baudruche sur la borne, la tape, se décoiffe dans l’action, frotte, frotte, secoue encore un coup, tape, secoue, ça fait “ding” et elle passe… L’action n’aura pris que 20 secondes, mais figure toi que dans le 75, des parisiennes on en compte jusqu’à plusieurs au m², et que c’est tous les jours, devant toutes les bornes que tu te retrouves coincé derrière un sac.

On viendrait presque à regretter le temps où on mettait des tickets dans la fente…

Category: Ils existent et ils sont plusieurs, La vie ne fait pas de cadeaux | 4 Comments »

Parce que c’est 3-8

mars 4th, 2009 by Batiste

Avant propos
Je te précise tout de suite que ce post n’est pas tiré de ma vie (au cas où tu te poserais des questions sur ma santé psychologique).

2h.
Je me réveille. Des larmes coulent le long de mes joues.
Sans raison.
Le flot est incontrôlable et avec le réveil arrivent la détresse et la mort.
Aucune réaction n’est possible et la douleur morale envahit mon corps : un poignard me traverse l’estomac, une douleur intense irradie mes membres, me fait ployer sur mon lit.
Immobile contre le bois de mon lit, les larmes coulent et toute notion de temps est abolie.
Ma conscience ne trouve aucune raison à cette douleur.
Enfin, des spasmes brisent le silence de la nuit, je sanglotte et me retrouve allongé sur le dos.

La suite se passe dans mon corps :
Pour lui comme pour moi l’attaque a été aussi rapide qu’innatendue. Submergées par l’émotion d’un rêve, les synapses se sont repliées sur elles-mêmes déchargeant dans l’ensemble de mes nerfs une infinité d’arcs électriques. L’attaque a été si violente que le commandement central a un temps laissé la main…

Un par un, mes neuronnes sortent de leur torpeur.

Le commandement central commence la revue des pertes occasionnées dans l’opération et une analyse de l’incident. Les plus grands experts sont réveillés et convoqués dans la nuit pour donner leur avis.

Les experts espertent, s’affrontent, confrontent. Finalement un délégué est envoyé au commandement central.

L’expert : “On croit qu’on a trouvé chef”
Le commandement central : “Et ?”
L’expert : “L’inconscient serait responsable”
Le commandement central : “Et ?”
L’expert : “…”
Le commandement central : “Qu’est ce qu’on attend pour aller le chercher ?”
L’expert : “Personne sait où il est chef !!”
Le commandement central : “…”
L’expert : “Par contre dans l’analyse sysmique, on a décodé un message qu’il faudrait communiquer au propriétaire”
Le commandement central : “Communiquer un message au propriétaire ? Mais ça fait partie du protocole de crise…”

Au milieu des sanglots, les neuronne sont mobilisés. Les consignes du commandement central sont claires : pour que le propriétaire entende le message, il faudra le hurler en même temps. La mission est d’importance, l’équilibre du propriétaire est en jeu.

Le commandement central : “A mon signal !!”

Le commandement central : “Encore !!”

Le corps se soulève. Le silence se fait un instant. Les sanglots reprennent.

L’expert : “On a du merder quelque part… On doit pas avoir le bon message…”
Le commandement central : “Et vous avez pas un peu plus expert que votre bande de tocards ?”
L’expert : “Si, un, mais on ose pas trop le déranger… Il bosse un peu quand bon lui semble…”
Le commandement central : “Allez me le chercher”

Quelques minutes plus tard :

Trois huit : “3-8 au rapport chef”
Le commandement central : “Et c’est quoi votre rôle monsieur… 3-8 ?”
3-8 : “Responsable des activités nocturnes chef, illumination, conception, sagesse, tout ça…”
Le commandement central : “Et vous connaissez l’inconscient ?”
3-8 : “Je travaille avec tous les jours chef. Il me donne les infos, je traite…”
Le commandement central : “Et le propriétaire vous écoute ?”
3-8 : “Toujours”
Le commandement central : “Vous avez carte blanche…”

La mission de 3-8 ne fut pas facile. Il lui fallut discuter longement avec l’inconscient, déméler le vrai du faux au coeur de ses phrases sybillines, et se poser la bonne question : Qu’est ce que le propriétaire pleure ?
Après des heures de recherche dans les limbes à la croisée des rêves, après avoir fait le tri entre les réminiscences de la journée, les pensées éparses et la folie furieuse, 3-8 avait sa réponse.

Pour l’annoncer, il décida de frapper un grand coup. Il réunit l’orchestre des neuronnes (du genre guinguette), se rendit à l’oreille du propriétaire… Et chanta :

Le silence se fait. Le calme revient. La nuit l’emporte…

“France Inter il est 8h, les informations Thomas Legrand”

Category: L'aventure c'est l'aventure.... | No Comments »

Parce que c’est toujours comme ça…

mars 2nd, 2009 by Batiste

Ca se passe à l’heure de soulever la tête, tapoter l’oreiller, le remettre à sa place sur l’autre qui est moins confortable, et de changer de côté avant de replonger pour les quelques heures qui me séparent du “France Inter il est 8h, les informations Thomas Legrand”.

Une enclume dans la tête, embourbé dans moiteur de la couette et un état proche de l’Ohio, il arrive qu’une idée surgisse dans la continuité d’un rêve pour faire contact avec le réel. Le rêve est déjà déjà en train de s’évanouir dans le noir de ma chambre quand une idée résiste au tapotage d’oreiller, au changement de côté et percute violemment au cours de l’opération un neurone moins engourdi que les autres.

Et c’est l’illumination.
Le neurone en question doit être particulièrement balèze, ne serait-ce que pour résister à la puissance attractive de l’oreiller, et comme c’est le genre à se reposer toute la journée il profite du moment de flottement qui a vu surgir l’idée pour éclairer ma conscience d’une lumière neuve sur le monde extérieur.

L’idée rêveuse et le neurone comblé se combinent dans un frisson, se jouent de la gravité en évitant l’impact avec l’oreiller et éclatent en bulles éparses dans ma tête de 4h du mat. Un oeil s’ouvre, l’autre le suit, le monde devient limpides, les idées se multiplient dans ma tête à l’infini, et la sagesse passe à portée de main (qui elle reste coincée sous la couette).

Cette nuit, les deux se sont rencontrés à la croisée d’un rêve.
C’était une petite idée d’article qui payait pas de mine. Le choc avec le neuronne l’avait magnifiée, et les deux assemblés se répondaient pour créer une chute à la minute et préparer les phrases que je n’aurais plus eu qu’à poser sur le clavier.

Le dormeur : “Harf harf harf, trop drôle ça… Harf harf, vont se marrer…”

Content, confiant, je me retourne et plonge dans les bras de morphée, persuadé de tenir au creux de la main un véritable bijou.

“France Inter il est 8h, les informations Thomas Legrand”

Rien.
Pas une bribe de phrase.
Pas le début du commencement du quart d’une syllabe.
Et l’idée aussi lumineuse dans la nuit s’est envolée avec le jour. Je sais même plus de quoi ça parlait.

Franchement lecteur, t’as raté un post terrible !! (et moi je pars à la recherche de ce neurone qui bosse jamais je jour pour lui expliquer qu’ici on fait pas les trois huit).

Category: La vie est belle... | 2 Comments »